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chant du tabou, sulfur

Sulfur
Sulfur
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chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 8:21.
sulfur
yoo sang-ha •• 17 ans •• sud-coréen

chant du tabou, sulfur JJD3nyh
classe •• word
manie •• faire des citations
spécialité •• écriture
arrivé à •• 14 ans
position par rapport a la compétition •• investi dans la quête, il aspire fortement à devenir le successeur de L. d'une fausse camaraderie, ses amours pour les autres orphelin-es sont empoisonnées par son ambition dévastatrice

éloquent •• mémoire d'éléphant •• charmant  •• brillant •• distingué
manipulateur •• hypocrite •• cruel •• prétentieux •• mythomane

Des livres comme engrais pour une âme qui pousse bien

Sulfur est une injure à la race humaine. Preuve vivante que le génie n'a pas besoin de coeur, il balaye de sourires voraces l'idée même qu'il y a une finitude à la gentillesse. Il empoigne les faiblesses et les compose dans sa bouche d'inhumain de mélodies solennelles pleines de syllabes ravissantes : sa cruauté a toujours eu la mot juste. Il ne craint ni le sang ni les larmes, s'habille de toutes les douleurs exquises, embrasse tous les chagrins qu'il provoque, se fait roi vilain dans un secret de polichinelle que personne n'ose prononcer, car tout le monde sait que lui se sauvera plus joliment et humiliera son adversaire sans effort. Sulfur est une figure religieuse idolâtrée à la manière qu'ont certains d'aduler le Diable, dans la certitude qu'il est infiniment dangereux, infiniment détestable, mais que cela fait de lui, en quelque sorte une divinité à ne pas troubler. Sa place dans ce monde minuscule est immuable, gravée dans les esprits malléables des enfants qu'il regarde de très haut et qu'eux n'osent pas approcher.
Pourtant, de plus près, dans la moiteur de l'été qui alanguit tous les corps ou les tempêtes hivernales qui obligent à se réfugier à deux, Sulfur sait se montrer humain. Et l'évidence même qu'il n'est qu'un garçon de dix-sept ans dont le front brille quand le soleil cherche à les assommer devient une stupéfaction touchante dont il peut s'emparer et qu'il méprise profondément. La tendresse adressée de ses deux yeux absorbés, des mots toujours, son rire troublé et prude - qui mime le malaise d'être mis à nu. A cet instant précis, la candeur de la jeunesse incite à imaginer qu'il y a quelque chose d'inédit, de précieux et de secret dans cette nouvelle facette artificielle qui pourrait sembler la plus sincère de toutes celles que le reste du monde connaît. C'est surestimer sa nature de monstre, et comme dans ses écrits, la somptuosité de sa méchanceté se fait dans les détails.

Si Sulfur subsiste, abominable et impuni, c'est que beaucoup clament que son existence telle quelle est nécessaire dans l'équilibre précaire de cette société. Sulfur, dans les bouches, à force d'inexistence humaine, menteur et conteur, relève d'un mythe, d'une légende qui pourtant sévit méchamment tous les jours. La souffrance engendrée sur son passage n'a jamais relevé de la fiction.

monsieur n'écoute pas du rap il écoute du r a p • sous-entendu si la chanson n'a pas un sens profond elle n'a aucun intérêt • d'un classicisme effroyable • est en pleine poussée de croissance • fume pour le style et les liens que cela peut engendrer • sent le tabac à rouler • écrit des choses effroyables qui ne restent que des fichiers words enfouis au plus profond de son ordinateur à l'abri de tout regard humain • il ne montre que ce qui plaît et pense sincèrement que le monde n'est pas prêt pour l'entièreté de son génie • l'été, sa peau se tanne au soleil et il a plein de tâches de rousseur au niveau de la nuque • l'écriture est un échappatoire face à l'insatisfaction intellectuelle et surtout émotionnelle qu'il ressent face au reste de l'humanité • dainty étant la seule à qui il porte un peu d'affection ingénue (supposons)(même lui n'y croit pas) • sûrement qu'ils se ressemblent assez pour qu'ils s'aiment, surtout • il apprécie arsène comme on apprécie un chien qui accepte de nous manger dans les mains • a vu fatal games et kin malheureusement j.d • ceci n'est pas une bonne chose • son poète préféré est desnos • baudelaire simp • prend le petit-déjeuner déjà habillé • est toujours assis à la même table dans un consensus commun que c'est leur table au s.a.d • peut passer des nuits blanches à écrire et durant ses sessions rien ne peut le perturber, il écrit de manière compulsive et obsessionnelle • est capable d'écrire des choses plus plates mais qui conviennent mieux très facilement • les cernes lui donnent un air mystérieux, les filles adorent • parle coréen, anglais, français, mandarin, espagnol et japonais • en train d'apprendre l'italien et l'allemand • pense que les traductions dénaturent un texte et préfère lire en langue originale •  a rarement besoin de se répéter deux fois • mauvais joueur et fabule pour se rassurer lui-même et séduire le reste des gens • soigneux de son apparence mais se fiche foncièrement de se salir • il utilise de manière cryptique les réseaux sociaux et tous ses comptes sont en privé • il accepte les gens qu'il veut "séduire" dessus, les surveille, puis leur retire les accès quand il a fini ses petits jeux • consciencieux du regard extérieur et sévit principalement en privé pour éviter les témoins •  la violence ne le fascine pas car lui est trop commune • toutefois il éprouve un plaisir rassasiant (de manière éphémère) à percevoir l'angoisse provoquée par les équilibres qu'il détruit • attire toutes les personnes avec un syndrome de l'infirmière qui finissent dévastées par son existence • le boug est zinzin

J'ai l'amour nucléaire bébé, j'suis pollué

"— Le tabou est sur toi, le tabou est sur nous ! Ainsi chantent les héros qui te suivent."

Aux pieds des deux enfants, le sang coule en longues trainées rouges et visqueuses, se mêlant avec l'eau brûlante de la douche de l'orphelinat. Sangha observe avec une attention particulièrement l'écoulement du nez jusqu'à la chair ferme des mollets, en grosses gouttelettes : lui a cinq ans. Vu comme un enfant vif mais difficile car secret, il se fond dans une masse juvénile qui ne fait pas de remous. Ce n'est pas la première fois qu'il voit du sang, ni le regard de rage du garçon de douze ans face à lui. Les plus vieux doivent aider les plus jeunes à prendre leur douche, mais Sangha veut se savonner tout seul. Il s'accroupit et récupère le bloc de savon qu'il frotte dans ses paumes minuscules. Ses doigts glissent le long de son ventre, observe ce nombril sans mère, et sent ses côtes sous sa pulpe. Il découvre son propre corps dans un silence parfait car s'il relève les yeux, personne d'autre que lui-même ne le regardera. Il le fait tout de même car il a froid et qu'il n'a pas assez de force pour appuyer sur le bouton de la douche lui-même, et il voit encore le sang sur la bouche, "Je vais les tuer..." Cette rage, il ne la comprend pas tout-à-fait. Pour l'instant, il distingue la colère et la souffrance, associée à ce vermeil écarlate qui a envahit le carrelage grisâtre : "Des sombres merdes..." Le garçon face à lui n'a pas de force, pas de muscles, il n'est d'ailleurs pas très grand, mais pour Sangha, il est plus proche d'être un adulte qu'un enfant. Les enfants n'ont pas plus que huit ans et ne jurent qu'en rougissant jusqu'au bout des oreilles.

— Le tabou est sur toi ! Nos conquêtes, sanglants sacrifices, sont la mesure de notre commune folie, la tienne et la nôtre.

"Qu'est-ce que t'écris ?
- Des choses qui ne te plairont pas.
- Encore ? Mec, c'est pas comme ça que tu vas te faire des potes."

L'Autre a presque dix-huit ans en octobre et projette sur le plus jeune des rêves d'amitié, entre eux mais aussi avec les autres. Il peine à saisir l'intérêt de Sangha de rester à ses côtés et de ne se mêler que très silencieusement au reste du monde. Ils sont à l'ombre des grands saules du jardin et Sangha c'est que ce seront les derniers jours sous ce soleil qu'ils passeront ensemble. L'Autre aussi est un solitaire, et nostalgiquement, il se persuade que dans quelques années Sangha et lui se retrouveront. Sangha n'en pense rien. L'Autre ne va pas survivre, ou alors comme une vermine que personne ne remarque. Sangha, lui, ne se projette que seul, très seul et il s'imagine pensivement écrire ou lire, adossé à un cyprès dans une campagne si silencieuse qu'elle en deviendrait terrifiante. Il peine à se projeter adulte. N'a aucun attachement : L'Autre est trop faible. S'il a toujours perçu les récidives qu'il inflige sans trembler à ses agresseurs, plus musclés, plus forts (ils fascinent pour l'instant encore Sangha, qui décrit la manière dont la sueur s'écoule de leurs fronts sous l'effort de la haine avec une passion maladive), il voit aussi qu'avant de se venger, l'Autre se fait injurier, frapper. Dans la manière de procéder dans celui qui maintenant lui paraît bien plus petit que quand il était très jeune, que les adultes figurent être comme son seul ami (ils s'inquiètent qu'il se retrouve seul une fois cet automne passé), il souffre. Avant l'humiliation, semblable aux vendettas des livres qu'il emprunte puis rend, il y a une phase de douleur accrue qui incite à la colère.
Sangha, à dix ans, s'affaire gentiment à ne jamais être comme lui. Ni faible, ni rachitique, ni haineux : Sangha n'aspire pas à être un Jean-Baptiste Grenouille renié de tous pour sa monstruosité. Il a déjà compris qu'il doit appliquer ce qu'il a appris de L'Autre sans passer par la phase d'agression. L'Autre est intelligent, mais pas assez : il doit être le persécuteur, pas le persécuté.
Mais pour l'instant il n'est rien. Il se complaît à faire croire qu'il est ce garçon dans l'ombre d'un autre, de L'Autre, plus vieux. Pour l'instant, il n'aspire qu'à gratter les mots encore et encore, les cuisses chatouillées par l'herbe asséchée.

"Faudrait que tu leur montres un jour comment t'écris, c'est ouf.
- Je sais pas.
- De toute manière, pas ça... Faudrait que t'écrives des trucs moins... Chelou t'vois ?
- Comment ça ?
- Des trucs qui parlent pas de ce dont tu parles, c'est bizarre pour un gamin de dix ans."

"— Le tabou est sur toi, le tabou est sur nous ! Une mort magique nous garde, seule, dans ses étables et ses abattoirs."

C'est face à l'insatisfaction de l'absence parfaite de chagrin, une fois qu'il s'est retrouvé seul, que Sangha a éprouvé le sentiment de frustration. Il a remis en relief ses années plus jeunes, a examiné une une photo qu'ils gardent sans curiosité de ses parents et ne se rappelle pas les avoir pleurés. Comment s'expliquer cette vacuité ? Il y a longuement songé, a cherché dans les livres des réponses, des héros sans tristesse. Des héros qui peinent à décrire leurs propres sentiments pour les autres - mais il ne sait pas. Il ne voit pas, ne se reconnaît nul part, et n'en a pas souffert : cela lui a juste mieux appris à faire semblant. Il a compris qu'il ne sera jamais voué à être vu s'il ne faisait pas ce qu'ils appellent "y mettre du coeur". Maintenant que Sangha a appris à se protéger des autres, il faut mieux comprendre comment les surplomber, sans l'aide de l'existence de L'Autre et ses blessures jamais soignées, toujours rouvertes. Ce vide, ici, là, droit dans sa poitrine, lui a laissé toute cette place à cet apprentissage à la fois littéraire et réel.
Sangha a lissé tout ce savoir et tout le monde s'est surpris à la fois d'une nouvelle sociabilité active, mais aussi d'un talent jusque là étranger, comme apparu de nul part. Sangha, à treize ans, que personne ne connaît mis à part à la légèreté désinvolte de ses sourires, s'est assis face à un de ses professeurs et lui a tendu des pages griffonnées, entièrement noircies. Il a contemplé le spectacle des émotions : la perplexité, la surprise, l'engouement et une faiblesse évidente. Les doigts tremblent, et l'adulte peine à reprendre son souffle.

"C'est splendide."

Qu'il lui a dit.

Ce texte ne lui ressemble pas. Il ressemble au reste du monde, mais pas à lui. Il ressemble à la tendresse des filles de son âge, il ressemble, à la somptuosité des amours naissants, il ressemble aux actes manqués de jeunesse - mais il ne ressemble pas à l'existence statique de Sangha. Ce jour-là, il s'est mis en tête que les hommes s'aimaient plus eux-mêmes qu'ils aiment les autres.

"— Le tabou est sur toi, le tabou est sur nous. La nourriture que tu nous refuses, nous ne pouvons te la donner."
Robert Desnos

hrp

salut moi c'est anaïs j'ai le même âge que l'ami sulfur mais seulement un dixième de son charisme
j'ai pas résisté lgtmps après un tit msg de lux je suis tombée love d'un voyou nommé sulfur et love de vous aussi c très important
ft. kaneda shotaro, akira
luC3XL7.png
Wave
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 8:49.
BIENVENUE PARMI NOUUUUUUUUUUUUS chant du tabou, sulfur 1937927074 chant du tabou, sulfur 1937927074 chant du tabou, sulfur 1937927074

Alors ce 3/4 de fiche est juste... chant du tabou, sulfur 2162529535 chant du tabou, sulfur 2162529535 chant du tabou, sulfur 2162529535

je sais pas si je suis méchante mais j'ai hurlé de rire aux anecdotes

Sulfur a écrit:prend le petit-déjeuner déjà habillé

j'adore ce détail

Hâte de voir l'histoire et te valider au plus vite pour que tu viennes agresser Wave♥
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 9:48.
Bienvenue, à toi, que l'on n'attendait plus ! chant du tabou, sulfur 3143871778
Et à cette plume, à laquelle on ne s'attendait pas. chant du tabou, sulfur 153735473
Invité
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 9:48.
Sulfur a écrit:le boug est zinzin
MDR
BIENVENUE
l'écriture de ta fiche est déjà magnifique, j'ai hâte de lire la suite jtm
Lux
Lux
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 10:24.
Sulfur a écrit:l'écriture est un échappatoire face à l'insatisfaction intellectuelle et surtout émotionnelle qu'il ressent face au reste de l'humanité

chant du tabou, sulfur 2414019813

je PLEURE

merci de m'avoir ressuscitée en ce lundi matin, ton écriture m'a mis un baume au coeur plus puissant qu'un rappel max
Perceval
Perceval
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 10:59.
Je suis entre le fangirlisme intense et le fou rire !
C'est tellement notre Sulfur et ta plume est si belle. J'ai vraiment hâte de lire la fiche complète et Rp avec Sulfur. Pas qu'on attendait le personnage...MAIS ON L'ATTENDEZ ! Donc bienvenue parmi nous chant du tabou, sulfur 1207954927
Dainty
Dainty
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 13:09.
....

chant du tabou, sulfur 28294375 chant du tabou, sulfur 28294375

Mon baby boy. Mon seul (faux) ami. Pote de pause clope occasionnel. La seule âme raisonnable et intelligente en ce bas monde. (ou pas)

Rhalala, j'ai hâte de jouer avec toi ! Réserve moi un RP, on va avoir du drama sur les manches et, comme j'aime à le dire, "des égos à briser". chant du tabou, sulfur 2971112816

Au plaisir de lire ta fiche en entière en tout cas !
Invité
Invité
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Lun 12 Avr 2021 - 16:14.
VIENS.
TE.
BATTRE.

SINON BIENVENUE ET COURAGE POUR LA FIN DE LA FICHE


mais viens te battre quand même.
Sulfur
Sulfur
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Re: chant du tabou, sulfur, posté le Mar 13 Avr 2021 - 23:24.
merci pour vos gentils commentaires, c'est moi qui revis d'avoir lu tout ça et du super accueil 10/10 sur tripadvisor

je crois pouvoir dire que j'ai fini en espérant que tout convienne !!!!
Roger
Roger
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Luxons : 946
Re: chant du tabou, sulfur, posté le Mer 14 Avr 2021 - 10:46.
Bon comme je te l'ai déjà dit magnifique fiche, le personnage a vraiment été saisi et même sublimé, je pense qu'on a eu de la chance de tomber sur toi pour Sulfur, bienvenue à Wammy's House!)

 le tabou est sur nous, et c’est pourquoi nous avons élargi, autour de toi, notre cercle sur la terre.



Bienvenue Sulfur ! C'est avec plaisir que le Staff t'annonce que tu as été validé ! Nous déplaçons désormais ta fiche dans ton espace gestion de personnage. Tu y trouveras également ton espace personnel si tu souhaites partager des actualités concernant ton personnage, ainsi que ton tableau de bord qui répertorie des objectifs. N'hésite pas à aller regarder la liste des objectifs si tu désires te lancer dans l'aventure. Tu peux également poster dans ton espace gestion de personnage ta fiche de relations afin que les autres membres puissent y poster.


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Puisque tu es un Word seulement toi et tes semblables ont le droit de poster dans le QG des Words !

N'hésite pas à fouiller le reste du forum!

Par ailleurs psst, Roger t'as laissé ceci lors de ton arrivée à WH :

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Re: chant du tabou, sulfur, posté le .

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