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même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa

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même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa, posté le Mer 26 Mai 2021 - 16:21.
théa
Tess Kostas •• 38 ans •• Anglaise & Grecque

même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa Tenor

affinité •• shape + word
poste à la WH •• MMA & Escalade / Grec & Arabe
ancienneté •• Début de cette année scolaire (2020-2021)
diplôme(s) •• C'est la rue. Mais elle est compétente, promis juré.
compétences •• Le leadership, la stratégie militaire, la survie, la topographie, le maniement des armes à feu à courte et moyenne portée, le CQC, la reconnaissance, les premiers secours. Tout ce qui est physique aussi.
Pour les langues il s'agit surtout de l'Anglais, le Grec et l'Arabe avec les bases en Espagnol.
statut marital •• Célibataire
opinion sur la WH •• Sa maison. Tout simplement. Elle espère pouvoir y retrouver un peu de réconfort et vivre paisiblement jusqu'à la retraite.

Sérieuse — Polyglotte — Réfléchie — Nostalgique — Leadeuse — Intelligente — Forte — Stratège
Mélancolique — Fataliste — Traumatisée — Blasée — Bornée — Secrète — Emoussée affectivement

you shoot me down, but i won't fall,
i'm titanium

même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa Tenor

Gamine qui gambadait dans les couloirs de la Wammy's, une petite terreur que les autres enfants n'aimaient pas  croiser. Du genre gueularde à facilement se moquer, les remarques blessantes fusaient de tous les côtés, couplées à une force insoupçonnée. Frapper ne l'effrayait pas, loin de là. Combattive, du genre à se rebeller et à toujours défier l'autorité, elle était celle qui ne fallait pas chercher.

Mais c'est du passé.
On dit que la guerre change les gens à jamais.
Que lorsque les soldats rentrent, personne ne les reconnaît.
Rien ne pourrait être plus vrai.

Chevelure certes similaire, pensées contraires.
Cicatrices psychiques, résultat de la perte et la colère.
Elle avait voulu retourner à une vie plus paisible.
Mais sur ses mains, le sang est indélébile.

Femme qui rôde dans les corridors de son ancienne maison, au regard vitreux et à l'expression lasse, Théa est cette professeure qui ne sourit pas. Ton monotone, bras croisés, menton légèrement relevé, elle semble désintéressée et complètement déconnectée de la réalité. Sérieux à tout épreuve, elle n'est pas du genre à blaguer ni même à hausser la voix. Autorité naturelle, prestance d'ex-militaire, ses yeux perçants suffisent généralement à calmer les dissidents. Une leadeuse, quelqu'un d'intelligent et de stratège, elle est quelqu'un sur qui on peut compter. Toujours à ressasser le passé, à répéter que les choses étaient plus faciles avant, retomber en enfance serait son plus grand souhait; cette époque où nettoyer sa chambre était sa seule corvée. Cette époque où son esprit n'était pas fracturé par la violence humaine. Où elle ne connaissait pas ce qu'était la mort, la perte.

C'est pour ça qu'elle prend soin des autres, bien plus qu'elle ne prend soin d'elle-même. Elle est cette collègue qui vous rappellera pour vous l'heure de votre rendez-vous chez le dentiste, cette professeure qui passera des heures pour trouver LA façon de vous faire comprendre efficacement la linguistique grecque, cette amie que vous pouvez appeler à 4h du matin sans soucis. Théa ne brille que grâce aux autres, la solitude étant l'une de ses peurs les plus profondes.

Mais elle se bat. Théa se bat pour continuer à vivre. Que ce soit physiquement ou mentalement, la guerre n'est jamais terminée et ne le sera probablement jamais. Toujours à s'entraîner, que ce soit à perfectionner ses techniques de combat, battre son record de rapidité à l'escalade ou pour simplement être prête si quelque chose de dramatique venait à arriver; sentir les gouttes perler sur son front est sa seule façon d'exorciser momentanément ses démons.

ESFJ-T - Lawful Good - Ne mentionne généralement pas son passé militaire à la WH - Seul le personnel enseignant et administratif est au courant - A perdu son annuaire gauche au combat - Insomniaque - Souffre d'hypervigilance et de TOC (trouble obsessionnel-compulsif) - Vérifie toujours plusieurs fois les choses - A très peur des bruits soudains et forts - Déteste les surprises - Ne sourit plus et n'arrive pas à se forcer - A un sens de l'humour extrêmement noir qui n'est pas drôle - Aime ses élèves même si elle ne le montre absolument pas - A une routine et refuse de la changer - Ancienne Shape - Avait d'excellentes notes en langues - Était une bully - Aime un peu trop l'alcool et sait parfaitement le tenir - mais boit extrêmement rarement en publique - S'entraîne quotidiennement pour être parée à toutes éventualités - A reçu comme médailles la croix de Victoria et la croix Militaire - Garde possiblement son couteau de combat sous son lit, personne n'a vérifié pour l'instant - Porte des lunettes de repos - Se bat (trop) régulièrement avec Divine et gagne une fois sur deux - S'est portée garante pour elle et se fait taper sur les doigts à chacune de ses conneries - Essaie tant bien que mal de se reconnecter avec Nox et MadMax - Se souvient toujours des détails inutiles - Boit beaucoup trop de café - S'essaie à la méditation - S'est teinte les cheveux un jour avant son retour à la WH - Est normalement blonde - Aime beaucoup le rock alternatif et l'indie - S'habille toujours en costume cravate et se change uniquement pour ses cours de sport - Rêve d'aller escalader le mont Everest - Ne perd jamais ses affaires - N'est absolument pas timide mais ne chercher pas forcément à parler - Ne supporte pas que l'on manque de respect aux vétérans peu importe le pays - N'a pas peur de se battre et est conscience de ses capacités - Adore parler du bon temps - Prend énormément soin de sa chevelure - Toujours vierge - N'a jamais eu de relation amoureuse - Préfère les cacahuètes aux chips - Se lève tous les jours à 6h du matin - A déjà réussi à détruire une boule anti-stress - Doit être traitée avec respect sous peine de le regretter amèrement - Est suivie psychologiquement par des professionnels - Repense souvent à ses anciens frères d'armes

when life hit you like a motherf#cking truck

même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa Rny4otpdi6y61

L'horloge indiquait 3h42. Une pluie battante s'abattait sur Londres et la plupart de ses habitants dormaient sur leurs deux oreilles. Mais pas elle. Assise au beau milieu de son salon, entourée par des dizaines de cartons parfois éventrés et parfois non, une femme à la chevelure blonde faisait le tri parmi ses possessions. Et avait presque terminé. Dans deux jours exactement elle allait retourner dans l'orphelinat qui l'avait élevé, chose que ses parents biologiques n'avaient pu assurer. Et ce plus de vingt ans après.
Dernière chose qui la tenait éveillée, choisir que faire de cet album-photo dégradé, aux pages parfois déchirées. Verre de bourbon vidé à ses côtés, une cigarette à peine touchée se consumait et crevait paisiblement dans son cendrier; drogues légales qui lui permettaient de mieux penser. À l'extérieur, le tonnerre raisonnait, la faisant frissonner d'inconfort. Yeux bleutés clos, elle réfléchissait. Ouvrir ce livre signifiait possiblement retourner à une époque redoutée. Instant d'hésitation, son regard refit surface. Elle devait se motiver. Liquide alcoolisé versé, elle but trois autres gorgées avant de tourner la 1ère de couverture.

Des gamins. Photo de groupe, 1987, quelques mois après l'ouverture de la Wammy's House. Petite tête blonde mignonne, pouce à la bouche. Elle n'avait jamais eu de véritable famille. Mère morte pendant l'accouchement, son père l'avait immédiatement délaissé car probablement incapable de se débrouiller seul. Une rancoeur qui au fil du temps avait disparu. Bien plus adroite que la grosse majorité des enfants, ajouté à ses prouesses en langues qui furent descellées rapidement, ses capacités lui avaient valu une entrée dans cet orphelinat si particulier. Elle n'avait que quatre ans. Elle souffla du nez en se revoyant si jeune, entourée d'enfants de toutes tranches d'âge. Ils n'étaient pas beaucoup à l'époque. Les choses ont bien changé au fil des années.

Puis une autre photographie. Elle et son groupe d'amis. Douze ans pour elle environ, 1995. Chevelure bleue, grand sourire, flamme dans le regard. Une dent de lait en moins et quelques hématomes sur sa peau. Une bagarreuse. Gosse qui cherchait toujours les autres et aimait se battre, une véritable Shape qui n'en faisait qu'à sa tête. Se revoir ainsi, si heureuse et si insouciante, la fit soupirer. Elle voulait retrouver ce bonheur, lorsque la réalité ne l'avait pas frappé de plein fouet. Visages faciles à discerner, Nox et MadMax se démarquaient particulièrement. Souvenirs qui remontaient. Comment oublier son premier baiser avec le premier et la responsabilité qu'elle avait eu pour la cicatrice du second ? Temps de débilité adoré, elle tourna la page.

Dix-huit ans. Septembre 2001. Cheveux courts et blonds, photographie de sa première année en tant que recrue dans les camps d'entraînements, le sourire fier, le menton levé. La fin de ses années de rébellion. À côté d'elle, la seule autre femme du régiment, celle qui deviendrait à terme sa meilleure amie et sa soeur d'arme. Diana Cooper. Elle se souvenait des heures passées à apprendre à se battre correctement, à manier les armes à feux, à gerber du sang. Ces longues nuits de punition car elle et sa camarade avaient osé mal répondre à leur supérieur. Tess hocha faiblement la tête, l'air nostalgique avant de poser son regard sur une nouvelle image.

Vingt-et-un ans. 2004. Salut militaire impeccable, elle se tenait droite. Elle avait passé haut-la-main l'examen final et était officiellement devenue une soldate, sa formation était terminée. Caractère de tête brûlée effacé au profit d'un bien plus posé et réfléchi, elle avait grandi et semblait très fière d'elle-même. Le début de sa carrière. Ou plutôt le début de sa fin.

Quatre ans plus tard. 2008. La première promotion. Jour de fête, jour de permission. Elle, avec une bière à la main et un sourire en coin, Diana, un bras sur son épaule, clairement pompette. Elles étaient toutes deux devenues Caporales Suppléantes après quatre longues années de loyaux services. Autour d'elles, plusieurs visages que l'adulte ne voulait surtout pas reconnaître. Mais elle tourna la page.

Vingt-huit ans. 2011. Elle, le pouce levé, le fusil en bandoulière, avec des lunettes de soleil. Diana, les mains dans les poches de son gilet pare-balles, l'air satisfaite. Premier déploiement en Libye. Tout s'était bien passé. Son regard se perdit momentanément sur les autres soldats qui les accompagnaient. Celui à la grosse barbe était un véritable nounours. Celui à la casquette retournée était le traducteur officiel sur le terrain et lui avait appris les bases de l'arabe. Celui torse-nu était fan de baseball. Celui avec des tatouages adorait chanter. Celui avec un collier était croyant. Celui avec les gants avait une soeur atteinte d'un cancer. Celui avec une cicatrice avait déjà frappé son supérieur au cours d'une opération. Et celui avec un porte-clé avait une fille de 4 ans au bercail. Elle sentit son palpitant s'accélérer. Mais elle tourna la page.

Plus tard. 2014. Irak. Elle et Diana avaient été promues Caporales l'année précédente et menaient deux escouades différentes, mais qui travaillaient toujours ensembles. Sur cette photo, elle, le barbu, le fan de baseball, le traducteur, le père et le colérique, accompagnés de plusieurs recrues des forces alliées. Le Royaume-Uni avait déployé des troupes pour entraîner celles irakiennes. Sa main trembla. Mais elle tourna la page.

Même année. Afghanistan. Elle. Diana. Leurs escouades.

Elle se souvenait. Elle se souvenait parfaitement de l'instant qui avait suivi cette photographie. Convoquées par le sergent, avec les autres caporaux. Une patrouille dans une zone normalement calme. Elle à l'ouest, Diana à l'est.
Tout se passait bien. Elle au volant de son humvee, son escouade avec elle, le barbu à la tourelle. Routes vides, pas de bruit. À l'arrière, le père, le traducteur et le fan de baseball discutaient des derniers ragots de la base. Le colérique était à la place du mort et scrutait l'horizon en silence. Ils avaient roulé pendant une vingtaine de minute jusqu'à atteindre un village. Puis une explosion. Un EEI dissimulé. Puis des tirs. Une embuscade. Son escouade répliqua tandis qu'elle était trop sonnée pour réagir. Quelqu'un avait réussi à sortir de la voiture blindée. Puis un autre. Et encore un autre. Puis on la traîna à l'extérieur. La poussière volait, tout comme les balles. Le bruit mécanique des armes à feu tambourinaient son crâne. Le père s'occupait d'elle tandis que le reste défendait l'endroit. Mais ce n'était que le début de l'assaut. Le fan fut le premier à tomber, la gorge arrachée par une cartouche de 7,62 mm. Puis ce fut au tour du barbu, troué de part-en-part en essayant de sauver son camarade. Le reste tenu bon quelques minutes encore, le temps de contacter qui que ce soit à travers la radio.

Elle se replia sur elle-même, bras autour de ses genoux. Les larmes coulaient le long de ses joues.

Le traducteur fut balayé par un autre explosif, le père abattu d'un tir à la tête et le colérique s'était battu au couteau jusqu'à la fin. Seule survivante, elle s'était enfuie jusqu'à atteindre un bâtiment et avait tenté de le barricader. Mais la porte en bois fut mitraillée, emportant avec elle son annuaire gauche. Chargeurs vides, yeux dénués d'espoir, l'adrénaline dans ses veines était la seule chose qui la forçait à se battre.

Détresse immense, envie de vomir. Elle referma de force l'album photo avant de le lancer au loin. Son poing frappa plusieurs fois le plancher de son appartement tandis qu'elle pleurait silencieusement. Son corps était secoué de spasmes erratiques. Impression d'étouffer. Culpabilité qui la bouffait. Elle avait l'impression d'y retourner. Elle n'arrivait pas à tourner la page.

...
...
...

6h17. Couchée par-terre, les premiers rayons du soleil vinrent caresser sa peau claire. Sa respiration s'était finalement calmée, ses yeux étaient injectés de sang et ses mains aussi. Carcasse qui se redressa lentement, elle observa en silence le plafond de son appartement. Diana l'avait sauvé ce jour-là. Et depuis, elle avait quitté l'armée pour essayer de se reconstruire ailleurs pendant sept longues années. Cela n'avait pas fonctionné. Le retour à la vie civile fut difficile. Traumatisée par cet évènement, elle n'arrivait plus à suivre le fil. Normalité dont elle fut aliénée, elle vécu recluse dans son appartement pendant un long moment, comblant ses lacunes en arabe pour le parler parfaitement. Mais récemment, elle eut une illumination. Hantée par les démons du passé, par la violence infligée, elle devait retourner là où tout avait commencé. Là où la vie avait été plus belle, plus douce, plus agréable. Là où elle avait été heureuse, autrefois. A la Wammy's House. Mais, après toutes ces épreuves, elle ne pouvait pas faire comme si de rien n'était. Alors elle proposa à Diana cette alternative, au lieu de l'armée. Et son amie avait accepté.

Et dans deux jours, elles seraient officiellement prof' pour des gamins surdoués.
Tess avait hâte de commencer.
Mais n'arrivait pas à oublier.

hrp

ft. Vivy de Vivy Fluorite Eye's Song (matez l'anime il est ouf)
Nox
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Re: même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa, posté le Mer 26 Mai 2021 - 16:42.
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Re: même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa, posté le Jeu 27 Mai 2021 - 21:24.
REBIENVENUE même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa 1126691562
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Re: même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa, posté le Jeu 27 Mai 2021 - 21:30.
même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa 2511735178

j'édite ce message pour dire que je suis amoureuse ok
Roger
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Re: même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa, posté le Ven 28 Mai 2021 - 19:43.
Ta fiche m'a trop émue...  même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa 1817653468 j'aime beaucoup à quel point on ressent dans l'écriture même que Théa a été marquée au fer rouge par son histoire, je veux lui faire des ptits câlins pour la consoler, énorme coup de coeur sur ce perso  même en temps de paix ils ne m'entendent guère - théa 3248066500 )


I'm bulletproof nothing to lose.



Bienvenue Théa ! C'est avec plaisir que le Staff t'annonce que tu as été validée ! Nous déplaçons désormais ta fiche dans ton espace gestion de personnage. Tu y trouveras également ton espace personnel si tu souhaites partager des actualités concernant ton personnage, ainsi que ton tableau de bord qui répertorie tes objectifs.  N'hésite pas à aller regarder la liste des objectifs, il existe des objectifs spéciaux pour les professeurs. Tu peux également poster dans ton espace gestion de personnage ta fiche de relations afin que les autres membres puissent y poster.

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