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« j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello.

Mello
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« j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Mer 7 Avr 2021 - 0:31.
mello
mihael keehl •• quinze ans •• polonais

classe •• shape
manie •• manger du chocolat. noir, préférablement ; de bonne facture, évidemment.
spécialité •• systema.
arrivée à •• deux ans.
position par rapport à la compétition •• l'éternel second au classement ne vit que pour devenir premier. être L, c'est sa destinée. c'est à lui, et à lui seul, qu'il appartient de faire la Justice. impartiale. impavide. impitoyable.

assuré et indépendant •• déterminé •• vif •• acharné •• énergique
colérique •• impulsif •• orgueilleux •• autoritaire •• extrême •• violent

« faiblesse ou force : te voilà, c'est la force. »

Mello repousse quelques mèches blondes d'une main irritée – il pousse un long grognement, se redresse sur le dossier de sa chaise. Il vérifie rapidement l'heure sur son portable – deux heures quarante neuf – puis se retourne, jetant un œil dédaigneux par-dessus son épaule. Matt, son compère, semble s'être endormi en pleine partie d'il ne sait quel jeu débile dont la bande-son tourne inlassablement. Ses doigts se resserrent convulsivement sur son stylo. Putain qu'ça le saoule. Pris d'une exaspération croissante, il bondit hors de son siège et fait quelques pas rageurs vers son compagnon de chambre – le stylo toujours à la main, comme s'il prévoyait de le planter avec. Il se contente néanmoins, après avoir posé l'arme potentielle sur la table de chevet, de lui arracher la Switch des mains afin de l'éteindre. A son grand dam, l'autre se met à gigoter, grommeler faiblement – ses paupières frémissent, ses lèvres s'entrouvrent...

« Hm... Mello... ? »

Ce dernier laisse à nouveau échapper un grognement.

« Ta gueule. »

Puis, plus doucement :

« Dors. »

Habitué, sans doute, à lui obéir jusque dans son inconscient le plus profond, Matt s'exécute presqu'aussitôt – il lui tourne le dos et rabat la couette sur l'entièreté de sa silhouette recroquevillée, marmonnant quelque chose d'à peine intelligible. Des mots que Mello reconnaît, plus qu'il ne les comprend vraiment.

« T'd'vrais dodo toi 'ssi... »

Il lève les yeux au ciel, réprime un ricanement empli de mépris. Sans prêter plus d'attention à son ami il se rassoit au bureau, s'efforce de se re-concentrer. Dormir ? quelle perte de temps, franchement. (Et puis dormir, c'est un peu comme mourir.) L lui-même ne dort jamais – ses yeux assombris d'épais cercles sombres en disent long. Surtout, le blond ne supporte pas l'inactivité – s'allonger, la nuit, quand le corps et l'esprit menacent de s'écrouler, tient d'une forme de torture car, même épuisé, éreinté, harassé, il ne peut s'arrêter de penser récapituler compulser analyser conjecturer développer
ça ne s'arrête jamais jamais jamais–

Le plus souvent – comme ce soir –, Morphée doit le prendre par surprise. Il n'y a peut-être rien (à part Near) qu'il hait autant. Ce ne sont généralement que de courts sommes, l'histoire de deux ou trois heures, dont il se réveille avec une âpre lourdeur – avec le sentiment d'avoir été trahi par sa propre chair. Un douloureux rappel de sa faillibilité – de son humanité.

Ce matin-là, c'est Matt qui le réveille. Il lui secoue précautionneusement l'épaule, chantonne « Mello... Mel'... Méli-Mello... Mellody... » d'une voix gouailleuse, encore éraillée de sommeil. A peine l'intéressé ouvre-t-il les yeux qu'une culpabilité fulminante le submerge. Il n'arrivera jamais à rien ainsi – ou plutôt, il n'arrivera jamais à dépasser Near. (Mais alors, il ne lui restera rien, rien que sa piètre et pathétique petite personne et... et ensuite ? que ferait-il d'une existence ratée ruinée condamnée à la médiocrité ?)
(Autant crever.)

Faisant fi de ses membres engourdis et endoloris, Mello s'active avec une impatience hargneuse. Il attrape de quoi se laver et se changer, fonce à la salle d'eau. D'habitude, son rythme de vie erratique lui permet d'investir celle-ci à une heure où personne ne s'y trouve ; cette fois-ci, il croise quelques lève-tôt qu'il ne daigne pas même gratifier d'un regard – si qui que ce soit a le malheur de lui adresser la parole...

Évidemment, personne n'ose. Tout le monde, ici, sait reconnaître l'orage qui gronde dans ses prunelles d'azur – et s'en préserver. Après tout, il a beau être maigrichon, il cogne dur et fort. Et beaucoup. A vrai dire il sait pas tellement faire autrement. Il sait pas comment – pourquoi – exister si c'est pas pour s'imposer écraser dominer.

Ce qu'il sait, en revanche, c'est que s'il n'est pas premier – s'il n'est pas L, eh bien il ne sera rien.

Cette idée, lorsqu'elle lui traverse l'esprit, l'emplit d'une angoisse sourde – une panique qui le saisit à la gorge et le pétrifie. Durant quelques secondes il ne sent plus l'eau tiède qui dévale le long de son corps n'entend plus les discussions alanguies il étouffe sous le poids de l'infinie vacuité que serait sa vie s'il n'atteignait pas son but–

L'éternel second s'appuie de ses deux paumes contre le mur carrelé de la cabine de douche, s'efforce de prendre une profonde inspiration.

Premier ou rien.

🌩 né le 13 Décembre 2005 (sagittaire), mesure un mètre soixante-dix pour cinquante et un kilos.
🌩 aime son chocolat le plus amer, le plus noir possible. celles et ceux qui le connaissent bien savent néanmoins qu'il apprécie certaines combinaisons : selon lui, l'acidité sucrée de la framboise souligne délicatement l'amertume du chocolat ; les amandes ou noix de pécan rajoutent une texture croquante intriguante ; le piquant cristallin de la fleur de sel l'amuse. tout le reste est hérésie.
🌩 autrement, n'aime franchement pas le sucré ; les textures crémeuses ou fondantes ont tendance à l’écœurer.
🌩 boit beaucoup de café. probablement trop pour un gosse de son âge.
🌩 pratique plusieurs sports en-dehors de sa spécialité, athlétisme et boxe (américaine) en particulier.
🌩 il aurait jamais pensé, mais il a découvert, avec sa binôme Ginger, qu'il avait un véritable attrait pour la danse, surtout les danses latines, dont il goûte pleinement la chaleur fougueuse et électrique.
🌩 très libéré quant à son expression de genre, Mello apparaît souvent vêtu de mini-jupes en cuir, de crop-tops, de shorts en jean déchiré ; sait marcher hissé sur des talons de plus de dix centimètres avec une grâce nonchalante et provocante. et ne tolèrera aucune remarque sur un soi-disant « manque de virilité », qu'il sanctionnera d'une patate de forain.
🌩 porte toujours autour du cou un chapelet de perles grenat, que ses doigts viennent parfois machinalement égrener tandis qu'il marmonne quelque prière du bout des lèvres. n'est pour autant pas certain de croire en Dieu – n'oserait pas non plus affirmer qu'il n'existe aucune forme de puissance divine. à vrai dire, ce chapelet est la seule chose qui lui soit restée de sa vie avant l'orphelinat.

« je brûle comme il faut. va, démon ! »


je devrais avoir mon enfer pour la colère, mon enfer pour l'orgueil [...] ; un concert d'enfers. »

Encore un p'tit nouveau. Un de ceux qui vivent bien le changement de décor et d'identité, cette fois – ou qui font bien semblant.
Mello préfère ça. Ceux qui chouinent, ceux qui boudent ou se cachent pitoyablement l'exaspèrent – quoique ceux qui paraissent trop vite prendre leurs aises ne lui disent rien qui vaille non plus. En fait, de manière générale, il n'aime pas les nouveaux. Ce sont toujours les mêmes appréhensions coléreuses – cette nouvelle tête s'avèrera-t-elle plus pleine ? mieux faite ? que la sienne ? Saura-t-iel  le dépasser ? … dépasser Near ? Cela lui serait peut-être encore plus insupportable que d'être dépassé lui-même, car personne, personne d'autre que lui-même n'a la légitimité, le droit de surpasser Near.

Comme à chaque fois que la rumeur d'un nouveau visage court à travers les interminables couloirs de l'orphelinat, Mello s'approche mais se tient à une distance respectable – tout à fait dénuée de respect néanmoins – afin d'observer, évaluer le potentiel de ce cerveau pour l'instant inconnu. Il lui est toujours difficile de se faire discret, silencieux, lui qui aime tellement sentir les regards converger vers lui ; cependant tout prédateur digne de ce nom doit savoir se tapir dans l'ombre. L lui-même n'est, finalement, qu'un illustre anonyme – aux yeux du monde, tout du moins.

Nonchalamment adossé contre un mur, dans la grande salle commune, il arque un sourcil moqueur lorsque, se présentant pour ce qui semble être la quatrième fois, le nouveau balbutie – trébuche sur la première syllabe de ce qui doit être son véritable prénom – se reprend d'extrême justesse. Classique.

Et pourtant ça lui échappe. C'est peut-être pour ça que ça le fascine.

Lui-même, il n'a jamais existé en dehors des murs de la Wammy's House. Ou plutôt, si peu, il ne s'en souvient même pas. Aussi loin que va sa mémoire il n'aura jamais été que Mello – Mihael, entre ses lèvres hésitantes, sonne comme le nom d'un parfait étranger. Il n'a jamais eu, comme tous ces nouveaux, toutes ces nouvelles qu'il toise avec une méfiance sous-teintée de dédain, à faire le deuil d'une autre vie. Ou de ses parents. Parce qu'il n'en a jamais eu. D'autre vie. Ou de parents. (Bien sûr, il sait qu'il est biologiquement impossible de ne pas avoir de parents. Toutefois, ne les ayant pas connus, il ne lui paraît pas exagéré de considérer qu'ils n'existent pas.) A l'extérieur, personne ne peut témoigner de son existence – il pourrait tout aussi bien n'avoir jamais vécu, au-delà de l'orphelinat.

Cette perspective a quelque chose d'exaltant.
(D'effrayant.)

Alors que les autres continuent à se presser autour du jeune garçon, Mello quitte la pièce d'un pas hâtif. D'autres préoccupations se rappellent à son esprit infatigable (et si fatigué). Des devoirs à rendre, des contrôles à potasser. De toute façon il ne veut pas penser au triste vide qu'est le début de sa vie. S'il y pense trop longtemps, ça lui fait un genre de nœud qui lui serre douloureusement les tripes, sa propre chair lui inspire comme un sentiment vague de dégoût...

et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j'ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection... orgueil. »

Il fait déjà noir lorsque Mello quitte le complexe sportif, après avoir passé trois heures à répéter jusqu'à la perfection quelques coups et enchaînements de boxe. Il s'agit d'une de ces nuits glacées, encore mouillées des longues pluies muettes de l'après-midi, que le blond déteste. Il s'empresse donc de retrouver la lumineuse chaleur de l'intérieur, malgré les lancinements qui raidissent ses membres. Il dédaigne délibérément le dîner, préférant s'enfermer dans sa chambre pour réviser tout en grignotant le reste d'une tablette de chocolat équatorien – plus que par la puissance de son amertume, c'est par de surprenants mais subtils arômes fleuris, jasmin et fleur d'oranger, que ce dernier se distingue délicieusement. Matt, avec cette prévoyance désinvolte qui le caractérise, lui ramène un peu de pain et de fromage, subrepticement grappillés au réfectoire.

« Le gouda ça passe, non ? qu'il interroge en se laissant lourdement tomber dans son lit.
Oui. C'est dur. »

Une vingtaine de minutes s'écoule avant que le blond ne reprenne la parole.

« … Merci, Matt. »

La gratitude, ça n'a rien d'évident. Surtout pas pour lui, qui a plus l'habitude de prendre que de demander. Il esquisse toutefois un faible sourire, dont la douceur un peu gauche ébranle l'habituelle inflexibilité de sa figure – révélant, sous toute cette orageuse roideur, une immense fatigue. (A-t-il toujours été aussi épuisé... ?)

Étrangement, cette nuit-là, il ressent assez la nécessité de se coucher pour céder, quoique de bien mauvaise grâce. Vraiment, il n'aime pas ça – dormir. Outre le fait qu'il s'agit d'une perte de temps, l'inconscience du sommeil réduit celui ou celle qui s'y soumet à une forme de vulnérabilité qui lui est insupportable.

Et puis...

Et puis, parfois, s'il dort assez profondément, Mello rêve.
Et il déteste rêver.

Parce que c'est toujours – ou presque – le même rêve. La lumière iridescente d'un sourire tendre – les reflets d'or de cette longue chevelure que ses mains, ses toutes petites mains agrippent amoureusement. « Arrête, Misiek, tu fais mal à Maman ! », réprimande la femme avec une indulgence espiègle, attrapant ses deux mains de la sienne, grande et fine. Comme il lui est étrange de comprendre parfaitement ces mots, cette langue qu'il ne parle plus depuis plus de dix ans – plus étrange encore de s'entendre babiller gaiement « Mamusiu ! mamusiu ! » tout en se blottissant contre elle. Dans la voluptueuse confusion du songe, l'entièreté de son monde se limite à Mamusia
la tendresse sucrée de ses lèvres sur ses joues, son front, le sommet de son crâne–
les effluves de violette qui exhalent de sa peau pâle et si douce–
la rondeur légère et fluette, presqu'enfantine, de sa voix tandis qu'elle fredonne une comptine à son oreille–

Mello rouvre brusquement les yeux. Il se retourne de façon à être allongé sur le dos et, d'une main hagarde, il tâtonne la surface de sa table de chevet, faisant tomber quelques babioles et un bouquin avant de trouver son portable. Quatre heures neuf, lui indique ce dernier. Le jeune garçon se lève, attrape rapidement un hoodie – un truc à Matt, probablement, du genre informe et trois fois trop grand – qu'il passe par-dessus son pyjama ; et il sort.

Ah ! l'instinct ne ment pas.
Ne trompe pas.

Il progresse de couloir en couloir, d'étage en d'étage, d'un pas prudent quoique machinal – il connaît les lieux, mais aussi les heures de passages et les trajectoires de rondes de la plupart des adultes, par cœur ; ainsi avance-t-il sans grande crainte de se faire pincer. Des années de longues pérégrinations, aussi bien diurnes que nocturnes, lui ont par ailleurs permis de débusquer toutes les cachettes potentielles, en cas d'imprévu.

C'est aussi comme ça qu'il a trouvé un accès aux toits de l'orphelinat. Il faut monter jusqu'au grenier, se frayer un chemin parmi la pléthore d'objets chaotiquement rassemblés... pour finalement trouver cet escalier étroit, aux marches irrégulières. Il en connaît des dizaines, des planques, mais celle-là il ne l'a jamais montrée à personne – pas même à Matt. Arrivé au balcon qui ouvre sur les hauteurs de la Wammy's House, il se hisse et grimpe, s'asseyant à même les tuiles poussiéreuses et humides des toitures.

Plus que la beauté du paysage qui s'étend à perte de vue, c'est un réconfortant sentiment de familiarité absolue qui le gagne peu à peu.
(Le sentiment d'être chez-soi.)
Ses prunelles cérulées parcourent l'immense domaine, que son esprit cartographie distraitement – les jardins, la forêt... et puis les plaines et champs qui entourent l'orphelinat. (Et encore au-delà, Winchester. Londres. Le reste du monde.) (La Pologne.)

Premier ou rien.
L ou rien.

Mello n'a jamais eu d'autre choix – de toute façon il n'en voudrait pas.

L ou rien.

(Ou bien ?)

tu ne sais ni où tu vas ni pourquoi tu vas, entre partout, réponds à tout. on ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre. »

hrp

hihihihi trop contente de vous retrouver ♥ (ici didou, sans les chiffres, pour celleux qui savent 😏)
ft. mello de death note.
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Vin
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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Mer 7 Avr 2021 - 8:27.
MELLOOOOOOOOO

Bienvenue sur notre v2 trop contente que tu reprennes Mello !! « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 4029089250 « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 4029089250 « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 4029089250
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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Mer 7 Avr 2021 - 17:37.
Et bien bienvenue n'est-ce pas, c'est un plaisir indiscible de vous avoir parmi nous de nouveau ma chère vous et votre plume !  « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 2768476116  

Morphée doit le prendre par surprise. Il n'y a peut-être rien (à part Near) qu'il hait autant.

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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Mer 7 Avr 2021 - 21:32.
Kgdooforrrr
MELLO « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 1059882324 « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 1059882324

Rebienvenue c'est très très chouette de te retrouver parmi nous ! Hâte de lire cette fiche complète <3

(Sérieux rien que ce paragraphe sur le caractère j'en pleure presque tellement c'est viscéral et on saisit Mello dans toutes ses peurs, paradoxes et désirs)
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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Mer 7 Avr 2021 - 22:03.
hihihihihihihi merci bôkou bôkou vous êtes les plus doux.ces ♥♥
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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Mer 7 Avr 2021 - 22:26.
tu sais que j'avais hésité à prendre Mello quand on a commencé à (re)faire ce forum !! mais j'ai eu le nez creux quand je me suis dit que je devrais laisser ce rôle à quelqu'un qui cernera mieux sa hargne que moi. je vois en plus sur votre CV que vous avez l'expérience parfaite pour ce poste, je vous embauche immédiatement sans contrat-

(par contre on dénoncera tout abus à la SPM, Société Protectrice des Matt)
Mello
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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Jeu 8 Avr 2021 - 21:50.
ohlala la pression « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello. 2348709070 j'espère être à la hauteur omg haha

Lux a écrit:(par contre on dénoncera tout abus à la SPM, Société Protectrice des Matt)

(il n'y a jamais d'abus. Matt est toujours consentant.)
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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le Sam 10 Avr 2021 - 10:15.
(Bonjour, je suis extatique en lisant ta fiche, l'écriture est riche et m'a submergée d'émotions, je suis tombée directement amoureuse de ton Mello, bref on sent que tu le maitrises et que tu l'as quand même fait tien, c'est un grand oui of course)

C’est le feu qui se relève avec son damné...



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Re: « j'attends Dieu avec gourmandise. » – mello., posté le .


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