∞ forever for a while - libre ?
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∞ forever for a while - libre ?, posté le Ven 17 Déc 2021 - 4:17.
∞ forever for a while
Le feu a cette puissance destructrice que personne ne peut comprendre. Je suis là. Je me tiens immobile. Je lui reproche sa force, tout ce qui le compose. Je suis le Phénix. Celui qui renaît des cendres. J’ai compris pourquoi le feu est comme il est. Aujourd’hui, je ne lui en veux plus. Est-ce qu’on me considère comme ça? Je suis une catastrophe naturelle. Je dévaste autant que je construis.
Les rayons de soleil enveloppaient la pièce entière - illuminait cette chambre qui lui appartenait. Absolument impossible d’en douter, sous les cahiers qui s’entassaient sur le bureau, et la tasse de café de la veille qui y traînait encore. Ses yeux ouverts sur les douces lueurs d’un astre de feu s’étaient posés sur la boisson énergisante l’attendant sagement. Se lever. La prendre, l’ouvrir, en boire une première gorgée.
La journée commençait. Elle possédait tellement de différentes possibilités; l’arbre s’étendait sous le regard perçant de Yugen. La beauté pouvait devenir terriblement effrayante et la laideur pouvait prendre les apparences d’un paradis. Il le savait - ne le savait que trop bien. S’étirant avant de poser ses pieds sur le sol froid, frissonnant, l’orphelin s’était dirigé vers la penderie pour enfiler des vêtements plus adéquats au début de cette nouvelle opportunité.
Le feu résidait,
Dans chaque geste,
Le danger
Poursuivait.
Mais il ignorait.
(Ou peut-être était-il trop conscient ?)
Énergie bouillante dans les veines, lui qui sautillait sur le bois flottant de sa chambre - sans trop d’égard à quiconque il pourrait déranger. On pouvait voir sur la commode des livres de tous les sujets; son cerveau emmagasinait l’information, mais ne savait pas comment la traiter la majorité du temps. Ce n’était pas grave. Il ne s’en souciait pas vraiment; ne s’en embarrassait pas. Yugen n’était pas parfait, n’avait pas vocation à l’être; n’avait jamais cherché à l’être également.
L’imperfection avait un charme que le lisse d’une absence de tares ne possédait pas. S’envoler - s’envoler sans vraiment le faire; demeurer dans le figuratif, jamais dans le littéraire. Quoique. Jamais était peut-être osé. Yugen avait parcouru la courte distance entre sa penderie et la porte, sortant de sa chambre pour s’ouvrir au monde qui l’entourait - sans crainte, il ne craignait jamais. Il n’avait pas peur.
Il ne connaissait pas ce sentiment; ne l’avait jamais expérimenté. Le Danger tournait autour de lui, le frôlait; mais jamais Yugen n’avait ressenti la moindre appréhension. Il tendait la main, cherchait à l’attraper, ne pouvait que le sentir du bout des doigts. Un jour, il tiendra entre ses bras le Danger pour le réconforter. Ce n’était pas grave. D’être effrayé. Il fallait l’accepter. Le Danger avait simplement besoin d’être compris et écouté. Il serait là. Il attendrait le temps qu’il fallait, parce que c’était étrange, d’avoir quelqu’un pour la première fois, prêt à tendre l’oreille pendant des heurs si c’était nécessaire. Mais il était là, le demeurerait pour toujours.
Aujourd’hui,
Weekend.
Il ne savait pas trop ce qu’il allait faire, où il irait - explorer certainement. Assurément. Mais qu’est-ce qu’il pouvait bien explorer ? Il y avait tant de choses à voir; même après tant d’années dans ce lieu. Tellement de temps. Il n’avait pourtant jamais ressenti la solitude, toujours accompagnée par les abeilles dans sa tête. Elles bourdonnaient très fort. Mais il les avait apprivoisé. Elles ne dormaient pas beaucoup; mais lui non plus. Ils s’entendaient bien. Ce fut chaotique, au départ - mais il avait appris. Ici, il était lui. Ici, il n’était pas différent. Il était différent, mais dans la différence - et ça s’annulait. Comme deux négatifs devenaient un positif. C’était mieux que de se demander pourquoi on le regardait étrangement après les questions posées. Il en posait beaucoup, des questions. Il avait tellement à dire, tellement à raconter, tellement à apprendre. On ne finissait jamais - d’apprendre. Mais les adultes se lassaient, les adultes ne voulaient pas réfléchir. Pourquoi ? Il ne comprenait pas. Ça lui échappait.
La fin du monde… La fin du monde, elle approchait. Doucement. À pas feutrés. Mais elle approchait. Il fallait la prévenir; il cherchait comment - mais il était souvent déconcentré en chemin.
Oh, tiens.
Une fleur.
agoraLes rayons de soleil enveloppaient la pièce entière - illuminait cette chambre qui lui appartenait. Absolument impossible d’en douter, sous les cahiers qui s’entassaient sur le bureau, et la tasse de café de la veille qui y traînait encore. Ses yeux ouverts sur les douces lueurs d’un astre de feu s’étaient posés sur la boisson énergisante l’attendant sagement. Se lever. La prendre, l’ouvrir, en boire une première gorgée.
La journée commençait. Elle possédait tellement de différentes possibilités; l’arbre s’étendait sous le regard perçant de Yugen. La beauté pouvait devenir terriblement effrayante et la laideur pouvait prendre les apparences d’un paradis. Il le savait - ne le savait que trop bien. S’étirant avant de poser ses pieds sur le sol froid, frissonnant, l’orphelin s’était dirigé vers la penderie pour enfiler des vêtements plus adéquats au début de cette nouvelle opportunité.
Le feu résidait,
Dans chaque geste,
Le danger
Poursuivait.
Mais il ignorait.
(Ou peut-être était-il trop conscient ?)
Énergie bouillante dans les veines, lui qui sautillait sur le bois flottant de sa chambre - sans trop d’égard à quiconque il pourrait déranger. On pouvait voir sur la commode des livres de tous les sujets; son cerveau emmagasinait l’information, mais ne savait pas comment la traiter la majorité du temps. Ce n’était pas grave. Il ne s’en souciait pas vraiment; ne s’en embarrassait pas. Yugen n’était pas parfait, n’avait pas vocation à l’être; n’avait jamais cherché à l’être également.
L’imperfection avait un charme que le lisse d’une absence de tares ne possédait pas. S’envoler - s’envoler sans vraiment le faire; demeurer dans le figuratif, jamais dans le littéraire. Quoique. Jamais était peut-être osé. Yugen avait parcouru la courte distance entre sa penderie et la porte, sortant de sa chambre pour s’ouvrir au monde qui l’entourait - sans crainte, il ne craignait jamais. Il n’avait pas peur.
Il ne connaissait pas ce sentiment; ne l’avait jamais expérimenté. Le Danger tournait autour de lui, le frôlait; mais jamais Yugen n’avait ressenti la moindre appréhension. Il tendait la main, cherchait à l’attraper, ne pouvait que le sentir du bout des doigts. Un jour, il tiendra entre ses bras le Danger pour le réconforter. Ce n’était pas grave. D’être effrayé. Il fallait l’accepter. Le Danger avait simplement besoin d’être compris et écouté. Il serait là. Il attendrait le temps qu’il fallait, parce que c’était étrange, d’avoir quelqu’un pour la première fois, prêt à tendre l’oreille pendant des heurs si c’était nécessaire. Mais il était là, le demeurerait pour toujours.
Aujourd’hui,
Weekend.
Il ne savait pas trop ce qu’il allait faire, où il irait - explorer certainement. Assurément. Mais qu’est-ce qu’il pouvait bien explorer ? Il y avait tant de choses à voir; même après tant d’années dans ce lieu. Tellement de temps. Il n’avait pourtant jamais ressenti la solitude, toujours accompagnée par les abeilles dans sa tête. Elles bourdonnaient très fort. Mais il les avait apprivoisé. Elles ne dormaient pas beaucoup; mais lui non plus. Ils s’entendaient bien. Ce fut chaotique, au départ - mais il avait appris. Ici, il était lui. Ici, il n’était pas différent. Il était différent, mais dans la différence - et ça s’annulait. Comme deux négatifs devenaient un positif. C’était mieux que de se demander pourquoi on le regardait étrangement après les questions posées. Il en posait beaucoup, des questions. Il avait tellement à dire, tellement à raconter, tellement à apprendre. On ne finissait jamais - d’apprendre. Mais les adultes se lassaient, les adultes ne voulaient pas réfléchir. Pourquoi ? Il ne comprenait pas. Ça lui échappait.
La fin du monde… La fin du monde, elle approchait. Doucement. À pas feutrés. Mais elle approchait. Il fallait la prévenir; il cherchait comment - mais il était souvent déconcentré en chemin.
Oh, tiens.
Une fleur.
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Re: ∞ forever for a while - libre ?, posté le Ven 17 Déc 2021 - 15:58.
Le feu a cette puissance destructrice que personne ne peut apprivoiser. Il s'y est déjà essayé, et a tout perdu dans les flammes.
C'est exactement pour ça qu'il veut recommencer.
440Hz chantonne, tout en trainant derrière lui un filet contenant 21 sections de tuyau de cuivre, et en jouant avec un chalumeau de l'autre main. Psssh! Psssssssh! Psh psh psh! Il dodeline de la tête en rythme avec le bruit du feu.
Ce bruit n'a pas quitté ses pensées, depuis ce jour où il a tout emporté. Un feu haut de trois étages, crépitant, explosant, rencontrant bois, métal, tissu, pierre, une symphonie glorieuse et brutale. Si seulement il n'y avait pas eu la sirène des pompiers qui en cachait les fins détails. Heureusement, aujourd'hui, il peut remédier à ce défaut.
Il atteint le petit carré de terre battue qu'il a désigné sien pour la journée. Il y dépose son fardeau de cuivre à côté de ses autres fournitures: du bois, bien sûr, au degré de sécheresse variée ; de la ouatte, qui devrait brûler d'un seul coup avec un magnifique FROUH ! ; de l'étain qui, il le sait maintenant, va fondre et se plier facilement, produisant un son variant avec le temps ; et divers petits bouts de ceci ou de cela, par pure curiosité.
Il prend le temps de disposer son micro sur un trépied et de vérifier l'absence de vent qui provoquerait un bruit gênant. Il serait vraiment mieux à l'intérieur de l'atelier de bricolage, pour éviter le vent, mais les experts l'ont mis dehors dès qu'il a sorti le chalumeau. Ce n'est pas très juste, puisqu'ils utilisent souvent des chalumeaux eux-mêmes. Heureusement, la météo est calme aujourd'hui. Il devrait récolter du bon son.
Frouuuh, frouuuh ! fait le chalumeau entre ses doigts. Il ajuste la puissance à l'aide de la molette. frou... FROUUUUH ! Oh, ça peut aller loin ! Plein de curiosité, il dirige la flamme vers le sol et parvient sans mal à calciner une fleur à proximité. Puis il remarque la paire de chaussures, un peu plus loin, et se demande un instant quel bruit peuvent bien faire des chaussures lorsqu'elles brûlent. Leur composition peut être très variée. Tissu, cuir, matières plastiques, fil, peut-être même un rembourrage en laine...
Laissant ses pensées dériver, 440Hz regarde intensément la paire de chaussures inconnue, son chalumeau allumé toujours à la main... Frrrr...
C'est exactement pour ça qu'il veut recommencer.
440Hz chantonne, tout en trainant derrière lui un filet contenant 21 sections de tuyau de cuivre, et en jouant avec un chalumeau de l'autre main. Psssh! Psssssssh! Psh psh psh! Il dodeline de la tête en rythme avec le bruit du feu.
Ce bruit n'a pas quitté ses pensées, depuis ce jour où il a tout emporté. Un feu haut de trois étages, crépitant, explosant, rencontrant bois, métal, tissu, pierre, une symphonie glorieuse et brutale. Si seulement il n'y avait pas eu la sirène des pompiers qui en cachait les fins détails. Heureusement, aujourd'hui, il peut remédier à ce défaut.
Il atteint le petit carré de terre battue qu'il a désigné sien pour la journée. Il y dépose son fardeau de cuivre à côté de ses autres fournitures: du bois, bien sûr, au degré de sécheresse variée ; de la ouatte, qui devrait brûler d'un seul coup avec un magnifique FROUH ! ; de l'étain qui, il le sait maintenant, va fondre et se plier facilement, produisant un son variant avec le temps ; et divers petits bouts de ceci ou de cela, par pure curiosité.
Il prend le temps de disposer son micro sur un trépied et de vérifier l'absence de vent qui provoquerait un bruit gênant. Il serait vraiment mieux à l'intérieur de l'atelier de bricolage, pour éviter le vent, mais les experts l'ont mis dehors dès qu'il a sorti le chalumeau. Ce n'est pas très juste, puisqu'ils utilisent souvent des chalumeaux eux-mêmes. Heureusement, la météo est calme aujourd'hui. Il devrait récolter du bon son.
Frouuuh, frouuuh ! fait le chalumeau entre ses doigts. Il ajuste la puissance à l'aide de la molette. frou... FROUUUUH ! Oh, ça peut aller loin ! Plein de curiosité, il dirige la flamme vers le sol et parvient sans mal à calciner une fleur à proximité. Puis il remarque la paire de chaussures, un peu plus loin, et se demande un instant quel bruit peuvent bien faire des chaussures lorsqu'elles brûlent. Leur composition peut être très variée. Tissu, cuir, matières plastiques, fil, peut-être même un rembourrage en laine...
Laissant ses pensées dériver, 440Hz regarde intensément la paire de chaussures inconnue, son chalumeau allumé toujours à la main... Frrrr...
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Re: ∞ forever for a while - libre ?, posté le Mer 27 Avr 2022 - 4:46.
∞ forever for a while
Ils ne sont que les produits d’une société qui n’a jamais désiré faire une place pour eux. Des cerveaux développés qui n’ont jamais trouvé un espace sécuritaire en dehors de cet orphelinat. Des rejetés, des indésirables, des “trop” et “pas assez” à la fois. Yugen l’a rapidement compris. Al n’a jamais cherché à construire vengeance. Al avait simplement compris. Des sourcils qui se levaient aux sourires un peu crispés face à une intelligence trop développée, al avait compris qu’ils posaient davantage qu’une problématique : les enfants comme al étaient un danger pour leur humanité si bien ficelée.
What a cyanide surprise you have left for my eyes
La beauté de la nature délicate était toujours agréable à observer. La fleur qui se démarquait, seule de sa famille, accrochant son regard de glace était magnifique. D’une douceur que nul ne pouvait nier, d’une vitalité qu’on ne pouvait lui retirer, al ne se permettrait pas de l’arracher à cette terre qui la nourrissait. Eus-mêmes l’avaient été quelque part, des pousses à qui on avait arraché les racines, mais illes n’étaient pas flétris et pouvaient se relever d’un tel affront.
Mais la vie rattrapait toujours la beauté : celle-ci fut alors calcinée et son regard se posa sur un enfant appartenant à cet orphelinat dans lequel al se trouvait depuis plus longtemps qu’al ne désirerait l’admettre. “Hey !” en guise de salutations. Yugen ne pouvait pas lui en vouloir, ne pouvait pas lui reprocher d’avoir brûlé ainsi cette délicate fleur sans défense. C’était ainsi que les événements se déroulaient, c’était le cycle qui suivait son cours. Même après les plus violents incendies de forêt, la nature finissait toujours par reprendre ses droits sur l’emplacement. C’était ainsi.
Cet enfant qui semblait parti si loin dans ses pensées et si Yugen n’était pas un mind-reader, ne possédait pas de telles étranges capacités relevant du surnaturel, ça ne l’empêchait pas de remarquer que les yeux étaient fixées sur ses chaussures. Et dans chaque inflexion des traits du visage de ce petit se trouvait les indications d’un questionnement. Yugen comprenait; c’étaient des plissements qui se trouvaient fréquemment sur son visage à ille. Dans la recherche constante de nouvelles informations, dans un besoin insatiable de comprendre un monde qui l’entoure, al ne trouvait aucune documentation suffisamment poussée pour lu satisfaire.
Prendre le temps de respirer délicatement et de fouiller la mémoire à la recherche d’une connaissance de qui se trouvait devant lu. Le surnom surgit sans trop d’efforts de sa part : 440Hz. Al n’avait pas vraiment entendu parler de lui, se souvenait simplement de qui il était; ou plutôt de comment s’adresser à lui sans dire “étranger”, ce qui était toujours plus agréable… Plus poli, sans doute même.
Ce fut ce regard qui ne déviait pas qui lu poussa à agir ainsi. Sans poser de questions, sans attendre encore plus longtemps, al retira ses chaussures pour les tendre à 440Hz. Un sourire sur san visage alors qual attendait que les chaussures soient retirées de ses mains. “Je me trompe peut-être, mais tu sembles très intéressé par mes chaussures. Alors tu peux en faire ce que tu veux. Me promener pieds nus ne me dérange pas.” Le contact de san peau nue avec l’herbe était plus agréable que dérangeant.
agoraWhat a cyanide surprise you have left for my eyes
La beauté de la nature délicate était toujours agréable à observer. La fleur qui se démarquait, seule de sa famille, accrochant son regard de glace était magnifique. D’une douceur que nul ne pouvait nier, d’une vitalité qu’on ne pouvait lui retirer, al ne se permettrait pas de l’arracher à cette terre qui la nourrissait. Eus-mêmes l’avaient été quelque part, des pousses à qui on avait arraché les racines, mais illes n’étaient pas flétris et pouvaient se relever d’un tel affront.
Mais la vie rattrapait toujours la beauté : celle-ci fut alors calcinée et son regard se posa sur un enfant appartenant à cet orphelinat dans lequel al se trouvait depuis plus longtemps qu’al ne désirerait l’admettre. “Hey !” en guise de salutations. Yugen ne pouvait pas lui en vouloir, ne pouvait pas lui reprocher d’avoir brûlé ainsi cette délicate fleur sans défense. C’était ainsi que les événements se déroulaient, c’était le cycle qui suivait son cours. Même après les plus violents incendies de forêt, la nature finissait toujours par reprendre ses droits sur l’emplacement. C’était ainsi.
Cet enfant qui semblait parti si loin dans ses pensées et si Yugen n’était pas un mind-reader, ne possédait pas de telles étranges capacités relevant du surnaturel, ça ne l’empêchait pas de remarquer que les yeux étaient fixées sur ses chaussures. Et dans chaque inflexion des traits du visage de ce petit se trouvait les indications d’un questionnement. Yugen comprenait; c’étaient des plissements qui se trouvaient fréquemment sur son visage à ille. Dans la recherche constante de nouvelles informations, dans un besoin insatiable de comprendre un monde qui l’entoure, al ne trouvait aucune documentation suffisamment poussée pour lu satisfaire.
Prendre le temps de respirer délicatement et de fouiller la mémoire à la recherche d’une connaissance de qui se trouvait devant lu. Le surnom surgit sans trop d’efforts de sa part : 440Hz. Al n’avait pas vraiment entendu parler de lui, se souvenait simplement de qui il était; ou plutôt de comment s’adresser à lui sans dire “étranger”, ce qui était toujours plus agréable… Plus poli, sans doute même.
Ce fut ce regard qui ne déviait pas qui lu poussa à agir ainsi. Sans poser de questions, sans attendre encore plus longtemps, al retira ses chaussures pour les tendre à 440Hz. Un sourire sur san visage alors qual attendait que les chaussures soient retirées de ses mains. “Je me trompe peut-être, mais tu sembles très intéressé par mes chaussures. Alors tu peux en faire ce que tu veux. Me promener pieds nus ne me dérange pas.” Le contact de san peau nue avec l’herbe était plus agréable que dérangeant.
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